La
Direction de l’Administration Pénitentiaire bénéficie de l’appui des organismes
internationaux (CICR, Commission Européenne), des Organisations
Non
Gouvernementales (Prisonniers Sans Frontières, Bureau International
Catholique
de l’Enfance) et des communautés religieuses. Cet appui lui a permis de
mobiliser des ressources additionnelles destinées à l’amélioration et à l’humanisation
des conditions de détention. Cette ouverture vers l’extérieur participe de la
claire vision des autorités pénitentiaires qui ont vite compris que les
ressources publiques ne pouvaient pas, à elles seules, suffire pour une meilleure
prise en charge des détenus et qu’il fallait mettre en place un réseau de partenaires
susceptibles de servir d’interface auprès des bailleurs de fonds ou de financer
sur fonds propres des projets visant à améliorer les conditions de détention,
d’alimentation et de santé des détenus.
L’hébergement
des détenus
La
plupart des établissements pénitentiaires disposent, en moyenne, de moins de
2m²
de cellule par détenu. La Maison d’Arrêt et de Correction de Daloa où le détenu
ne dispose que de 0.77 m² de cellule par détenu. Il en résulte une promiscuité
qui influe aussi bien sur l’environnement et la santé de l’ensemble des détenus
que sur les conditions de travail du personnel. Cela dit, les espaces disponibles
dans la plupart des établissements pénitentiaires ne permettent pas d’assurer
aux détenus des conditions de détention qui prennent en compte le respect de
leur dignité. Alors que l’ensemble de règles minima pour le traitement des
détenus recommande clairement que les détenus doivent avoir suffisamment
d’espace pour vivre, suffisamment d’air frais et de lumière naturelle afin
d’assurer leur santé (règles 9-14 RMT). Dans certains établissements le
surpeuplement constitue l’un des problèmes majeurs. Les détenus sont entassés
dans des cellules dont les baies d’aération sont conçues dans des dimensions
inappropriées, n’offrant pas une bonne ventilation de l’air frais et l’accès à
la lumière. Le surpeuplement aurait pu être moins problématique s’il existait
des espaces disponibles pour les accueillir pendant le jour, notamment des
cours de promenades spacieuses qui permettent des exercices physiques, des
salles de visites et des lieux de vies où ils peuvent s’adonner à des activités
socio-éducatives ou de formation professionnelle. Si le surpeuplement n’est pas
maitrisé, il atteindra un niveau inacceptable tel que dans certains
établissements pénitentiaires où il arrive que les détenus de certaines cellules
dorment à tour de rôle. Aussi, les établissements pénitentiaires devraient disposer
de toilettes fonctionnelles avec accès à l’eau courante. Les installations des
toilettes sont essentielles dans les prisons pour faire respecter le droit à la
propreté des détenus, et limiter les risques de propension de maladies telles
que les maladies de la peau et les maladies diarrhéiques. Les actions
entreprises, dans le domaine de la réhabilitation des installations sanitaires
et des systèmes d’évacuation des eaux usées, la remise en état des systèmes de
distribution d’eau potable et la mise en place de points de puisage et d’unités
de stockage, devraient être poursuivies et pérennisées.
La
santé et l’alimentation
Sur
le plan de l’alimentation, des efforts considérables ont été consentis par
l’État. Il s’y ajoute l’appui du CICR à travers son programme nutritionnel. Ces
avancées significatives qui ont permis, entre autres, de réduire la mortalité
au sein de la population carcérale. Malgré cela, il existe encore des cas de
maladies liées à la malnutrition. Par ailleurs, sur le plan sanitaire, il y a
une amélioration notable dans la plupart des établissements. Les Régisseurs ont
commencé, avec l’appui de la Section de l’État de Droit de l’ONUCI, à inscrire
les détenus dans les dispositifs de prise en charge sanitaire offerts dans le
monde libre, en sensibilisant les directeurs départementaux de santé publique,
sur la nécessité de leur prise en compte dans les programmes nationaux de santé
publique, notamment le programme de lutte contre le paludisme et celui de
dépistage et de traitement du VIH/sida. Il en est de même dans le domaine de
l’amélioration des conditions de l’hygiène, en relation avec le CICR, avec le
début de mise en place de comité d’hygiène dans certains établissements
pénitentiaires.
La
gestion des détenus
Compte
tenu du manque de personnel de surveillance et l’inexistence de procédures
claires qui définissent la sécurité, il subsiste des difficultés qui limitent
la possibilité de trouver un équilibre entre le contrôle et la protection des
détenus. Dans l’ensemble des établissements pénitentiaires, le contrôle est laissé
à un groupe de détenus puissants (chefs de chambre ou de bâtiment) qui exercent
souvent un pouvoir disciplinaire sur leurs codétenus. Ils en tirent généralement
des avantages, rompant ainsi le principe selon lequel « tous les détenus sont traités de manière égale » (règle 28 RMT).
L’assistance
des intervenants externes
Pour
appuyer l’effort de la Direction de l’Administration Pénitentiaire (DAP), des
organisations non gouvernementales (ONG), des associations religieuses et caritatives,
des organismes internationaux et des partenaires au développement interviennent
pour apporter leur soutien financier et matériel, à court et moyen terme. Ces
partenaires ont tous un dénominateur commun : le plaidoyer en faveur de
l’humanisation des conditions de détention. Leur domaine d’intervention
s’oriente vers la santé, l’alimentation, l’hygiène et l’assistance judiciaire.
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